Écritures

Marie Vauzelle est auteure de ses propres spectacles, mais aussi de plusieurs textes de théâtre et de fiction sonore.
Elle est soutenue depuis 2019 par ARTCENA

Loin le ciel

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Pièce de théâtre – janvier 2022

Lecture au Festival d’Avignon le 19 juillet 2022
Lecture à Texte en Court le 25 novembre 2023
Lecture au Théâtre d’Arles le 13 janvier 2024

Texte lauréat du prix d’Aide à la création d’ARTCENA 2023.

Pièce sélectionnée pour l’édition 2024 de la Récolte, revue nationale des comités de lecture (sortie Festival d’Avignon 2024)

Sélection d’oeuvres d’À mots découverts pour 2023-2024 (Paris)

Traces

Traces

2020 – Fiction radiophonique

Traces est une fiction sonore sous forme de série de 6 épisodes de 20 mn environ. Elle se construit comme une enquête aux frontières du réel et du fantastique. 

Une vieille dame va mourir, éloignée de ses enfants, placée dans un institut. Ses enfants ne la voient plus et ne se voient plus. L’imminence de sa mort, c’est la retombée définitive dans l’oubli d’un pan de l’histoire commune. Une chanson enregistrée, une voix du passé, va faire se plier le temps sur lui-même, et forcer Ixa à retrouver sa mère.

Blackbird

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Bande dessinée – écriture en cours – textes Marie Vauzelle / dessins Olivier Durand

Et un jour il est là, il marche dans une forêt obscure. À l’orée de cette forêt, un village étrange dont les habitants semblent le connaître. Lui, cet homme, il ne sait plus rien. Guidé par un enfant aveugle, il va peu à peu remonter le temps et se découvrir.

Nuit

Nuit-écriture

Pièce de théâtre – Prix de l’Aide à la création 2019 d’ARTCENA
Écrite à la Chartreuse de Villeneuve-les-Avignon en juin 19

C’est l’histoire de la dernière nuit, entre rêve et réalité, de Jean. Une nuit d’errance, de rencontres, de paroles, de drogues et d’alcool, une nuit intime et la nuit d’une époque. Il croise des femmes, des amis, sa mère, son enfant, les fantômes de sa vie… Sa dernière nuit, drôle et tragique, avance vers sa propre mort.

La Rose et le Réséda

Rose&Réséda

2017 – En collaboration avec Clélia David
Pièce pour 50 collégiens

Le texte est écrit à partir de nos échanges autour de ce qu’est au fond la question de la laïcité : comment s’articulent pour eux sphère privée et sphère publique, et qu’est-ce que c’est « croire

Née d’une commande de l’Usine à Tournefeuille d’un spectacle sur la laïcité, ce texte est né de 2 mois d’immersion dans deux collèges.
Avec Clélia David.

Les ciels de Bahia

bahia

Conte musical
2016

Ce soir, la maman de Bahia lui annonce qu’elle va partir, le temps d’un quartier de lune, pour son travail. Commence alors une longue absence et une attente de sept jours. Sept jours durant lesquels Bahia apprendra beaucoup : que le temps est une drôle de chose, que les rêves sont des voyages et les voyages des trésors extraordinaires, que l’aventure est aussi dans le quotidien parfois et que dans le fond des mers comme dans le haut du ciel fleurissent des créatures amusantes et magnifiques.

Pharmakos

Pharmakos

2015
Pièce écrite avec le Collectif Moebius
En collaboration avec Jonathan Moussalli

Fable sur le thème du bouc émissaire. Inspiré par les pensées de René Girard et Bernard Stiegler, ce projet collectif interroge les mécanismes de la rivalité et de la violence, constitutifs de tout ordre socio-culturel, de tout groupe humain.

Vers Antigone

Antigone1

2012

À partir du texte de Sophocle pris comme structure, cette pièce est une enquête poétique sur les résonances du face-à-face entre figures de pouvoir et figures de résistance. C’est aussi la recherche des acteurs eux-mêmes, mettant en jeu leurs propres interrogations sur la résistance, le passage à l’âge adulte, qui devient le fil du spectacle. Il ne s’agit pas de commenter le mythe, mais de poétiser cet anachronisme d’un monde ressenti par nous comme irréversible et la victoire d’Antigone.

Sans Pères - adaptation

Sans Pères

2010

Adaptation libre de l’oeuvre de Tchekhov
Pièce écrite pour le Collectif Moebius

« Sans Pères, c’est l’histoire d’une longue nuit de fête où chacun à sa façon, à trop vouloir se débattre pour trouver un sens à sa vie, se perdra définitivement.

Tchekhov a décrypté la fin d’un monde, dont la vacuité de repères et d’idéaux est l’expérience que notre génération connait. Les personnages de Sans Pères remplissent frénétiquement le vide. C’est bien là que se noue leur tragédie – et sans doute la nôtre. Une tragédie sans noblesse, à laquelle s’ajoute la conscience de sa propre vanité. Il s’agit d’atteindre cet endroit difficile et dangereux où se dévoile la peur d’aller au fond des choses, là où elles sont « comiques et misérables ».

Marie Vauzelle est une auteure soutenue par ARTCENA

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